En effet , cette lettre, datée du 25 septembre 2023, souligne les préoccupations concernant le traitement différencié des affaires par la FIFA.
Les signataires notent que la FIFA a réagi rapidement et fermement dans le cas de Luis Rubiales, président du football espagnol, suspendu après un incident impliquant une joueuse. Cependant, ils s’interrogent sur le silence de la FIFA concernant des affaires éventuelles plus graves, notamment celles impliquant la Fecafoot.
Parmi les signataires figurent des personnalités éminentes du football camerounais, dont Pierre Semengue, président de la Ligue de football professionnel du Cameroun, et Henry Njalla Quan Junior, ancien vice-président de la Fédération camerounaise. Ils remettent en question la légitimité du maintien de Samuel Eto’o à son poste, le qualifiant d’illégal.
La lettre énumère plusieurs chagrins à la rencontre de Samuel Eto’o, notamment sa condamnation pour fraude fiscale en Espagne en juin 2022, une agression présumée contre un youtubeur algérien lors de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, ainsi que la signature en mai 2023 d’un contrat avec la société de paris sportifs 1XBET, considéré comme une violation flagrante du code d’éthique de la FIFA.
En outre, la lettre fait référence à une instruction émise par le président de la République du Cameroun le 2 août 2023, ordonnant l’ouverture d’une enquête sur Samuel Eto’o, Ndazeh Valery (Président de la Ligue Régionale du Sud-ouest ), et Valentin Kwain (Président de Victoria United). Cette enquête vise des allégations de corruption et d’abus d’autorité.
Les signataires de la lettre semblent préoccupés par le manque de transparence et de responsabilité dans le football camerounais et appellent à une action immédiate de la part des instances internationales pour faire la lumière sur ces affaires.
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