Quand le match s’est finalement conclu, l’ambiance électrisante du Parc des Princes a été accentuée par une musique déchaînée. Le Paris Saint-Germain a réussi à se qualifier pour sa deuxième finale de Ligue des champions, après avoir battu Arsenal lors des deux matchs. Le PSG aspire maintenant à remporter son premier titre de Champions League et affrontera Inter Milan à Munich.
Arsenal a refusé de se laisser abattre, ce qui a créé un véritable spectacle. Lorsque Vitinha a réussi un penalty à la 69e minute pour porter le score à 2-0 et le total à 3-0 sur l’ensemble des deux matchs, David Raya a brillamment riposté. Mais peu après, Achraf Hakimi a réussi à marquer pour le PSG, mais Arsenal n’a pas lâché prise. Bukayo Saka a ensuite réduit l’écart grâce à un centre dévié par le remplaçant Leandro Trossard. Saka a été particulièrement remarquable lors de ce match.
Le PSG, une performance magique
Le club londonien a recommencé à espérer un retournement de situation similaire à celui de mardi. Rappelons-nous que l’Inter Milan a réussi à revenir au score pour éliminer Barcelone. Quand Riccardo Calafiori, entré en jeu, a centré à ras de terre, Saka a eu l’occasion d’égaliser. Malheureusement, il a manqué son tir et la balle s’est envolée haut dans le ciel.
Arsenal n’a pas vécu le conte de fées espéré, malgré quelques moments magiques demandés par Arteta ; c’était plutôt une déception douloureuse, une répétition familière de l’échec, mais avec une certaine fierté. C’est en grande partie dû à l’exceptionnel Paris Saint-Germain, qui a progressé sur tous les fronts en un an. Malgré les critiques après l’échec de son programme de superstars, ce club a su gérer ses deux matches contre Arsenal avec assurance. Même si Saka a réussi à réduire le score puis a raté une occasion d’égaliser, l’équipe de Luis Enrique a démontré une puissance impressionnante.
Donnaruma s’est finalement imposé comme le gardien qu’on espérait voir. Calme, confiant, prenant peu de risques mais surtout rassurant. Si le PSG est au sommet, c’est en grande partie grâce à l’Italien. Ce groupe a une telle capacité à se surpasser que chaque joueur évolue en fonction de l’enjeu.
Luis Enrique est en train de relever un défi colossal. Le défi sera-t-il relevé à Munich en finale contre Inter Milan à la fin du mois ?
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