Le cricket n’est pas seulement un sport, c’est un battement de cœur dans la vie de millions de personnes. C’est la tension d’un test de cinq jours, le rugissement d’un six volant au-dessus des cordes, la magie d’un cover drive parfait. Et au cœur de tout cela ? Les batteurs. Ceux qui portent les nations sur leurs épaules, réécrivent les records et transforment la pression en poésie. Alors, qui sont les véritables dieux de la zone de frappe ? C’est ce que nous allons découvrir au cours de ce voyage à travers la grandeur des sportifs du Cricket.
1. Sachin Tendulkar – Le maître de la frappe
100 siècles internationaux. Plus de 34 000 courses internationales. Personne n’a touché les cœurs comme Sachin l’a fait. De ses débuts à 16 ans contre le Pakistan à la conquête de la Coupe du monde en 2011, sa carrière s’est étalée sur 24 années glorieuses. Il a été le premier à marquer un double siècle en ODI. MCG, SCG, Lord’s – tous les stades se sont inclinés devant lui. Il n’a pas seulement battu des records. Il est devenu une religion.
Mais que se passe-t-il si vous vous sentez inspiré non seulement pour regarder, mais aussi pour compatir en direct ? Dans ce cas, rien ne vous empêche de faire votre pari bet sur le site MelBet et de ressentir chaque lancer, chaque sortie ou chaque frappe comme si vous étiez sur le terrain. Après tout, c’est là la véritable magie du sport – quand l’écran ne sépare pas, mais unit. Lorsque vous entrez dans l’histoire, même à distance !
2. Virat Kohli – Le maestro moderne
Qui d’autre peut se targuer d’avoir accumulé plus de 80 siècles sur la scène internationale à l’âge de 36 ans ? La constance de Kohli au cricket est insensée. Sa moyenne est supérieure à 50 dans tous les formats. Dans les courses-poursuites, c’est un monstre – 22 tonnes ODI en course-poursuite ! Son 183 contre le Pakistan en 2012 ? C’est une icône. Son parcours en Coupe du monde 2023 – 765 runs en un seul tournoi – a donné l’impression de voir du feu sur de l’herbe. Quand Kohli est là, rien d’autre ne compte.
3. Don Bradman – Le phénomène 99,94
Un seul chiffre. 99.94. La moyenne qui a défini l’immortalité. En seulement 52 tests, Bradman a marqué 6 996 points. Cela représente 29 siècles. Pendant les Ashes de 1930, il a réalisé 974 runs en cinq tests. Une fois, il en a fait 309 en une seule journée. Personne n’a dominé une époque aussi complètement. Personne ne le fera jamais. Le Don n’était pas seulement génial, il était intouchable au cricket.
4. Brian Lara – Le roi du flair
400*. Quatre cents sans interruption. Le score le plus élevé de l’histoire des tests. Également 375, et 501* en cricket de première classe. Lara ne frappait pas, il dansait. Son tour de batte contre l’Australie en 1999, au cours duquel il a remporté le match à lui tout seul, donne encore la chair de poule. L’élégance de son poignet, son assurance, sa résilience – du pur théâtre. Il était l’art en mouvement au cricket.
5. Jacques Kallis – Le géant silencieux
Plus de 10 000 courses en tests et en ODI. 45 tonnes en test. Mais il a aussi pris 577 guichets ! Kallis était le joueur de cricket le plus complet. Ses 224 points contre le Sri Lanka en 2012 ou ses 139 points lors d’un match de la Coupe du monde 2003 – c’est du solide. Pas de chichis. Pas de bruit. Juste de la grandeur, encore et encore. Le pilier de l’Afrique du Sud pendant près de deux décennies.
6. Ricky Ponting – Le vainqueur impitoyable
71 siècles internationaux. Plus de 27 000 courses. Mais plus que les chiffres, c’est sa faim qui l’a emporté. Ses 140* lors de la finale de la Coupe du monde 2003 ont anéanti l’Inde. Sous sa direction, l’Australie a remporté deux Coupes du monde de cricket. Les coups de pied arrêtés ? Il les maîtrisait. Ses deux tonnes en 2006 lors d’un test contre l’Afrique du Sud ? Brutal. Il jouait comme un guerrier avec du feu dans les veines.
7. Kumar Sangakkara – Le génie élégant
Plus de 28 000 courses internationales. 63 siècles. Quatre centaines consécutives lors de la Coupe du monde 2015 ! Sangakkara était la classe incarnée. Ses 319 points contre le Bangladesh ou ses 192 points contre l’Australie : de l’habileté à l’état pur, de la concentration à l’état pur. Derrière les souches et avec la batte, il a fait vivre au Sri Lanka son âge d’or. Toujours calme. Toujours brillant.
8. AB de Villiers – Monsieur 360
50 (16 balles), 100 (31 balles) et 150 (64 balles) les plus rapides de l’ODI. AB était un monstre – dans le meilleur sens du terme. Il pouvait passer par-dessus la jambe fine, faire un balayage inversé pour six, ou conduire vers le haut comme un rêve. Ses 149 points en 44 points contre les Antilles en 2015 relevaient de la science-fiction. Et pourtant, il pouvait réaliser 278* dans un test. Un véritable monstre de talent.
9. Steve Smith – Le mur peu orthodoxe
La technique de Smith a fait frémir les entraîneurs. Mais les résultats ? Incroyables. Une moyenne de plus de 58 dans les tests, dont 774 runs en seulement quatre matches des Ashes en 2019. Il laisse des balles comme un magicien et marque des points comme une machine. Le regarder déconcerter les bowlers, c’est comme voir des échecs joués sur l’herbe.
10. Joe Root – Le roc anglais
Root est implacable dans le monde du cricket. Plus de 11 000 courses en test. Et il continue. Son 218 contre l’Inde à Chennai en 2021 ? Un véritable chef-d’œuvre. Il a marqué des siècles sur tous les continents, contre toutes les grandes équipes. En 2022, il a atteint une moyenne de plus de 50 à la batte dans une équipe d’Angleterre en pleine transition. Tranquille, calme, mais férocement constant.
Ce ne sont pas de simples batteurs. Ce sont des légendes, des rêves et des icônes du cricket. Du 99,94 de Bradman à la folie à 360 degrés d’AB, ils ont rendu le cricket magique. Chaque course, chaque siècle, chaque rugissement des tribunes, tout vit à travers eux. Et devinez quoi ? L’histoire n’est pas terminée. D’autres exploits sont à venir. Continuons à regarder. Continuons à rêver !
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